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Je vais finir avec le cratère de darvaza et le triangle de bermude:

Cratère de Darvaza

Premièrement , Darvaza (en turkmène : Derweze) est un lieu-dit du Turkménistan situé au milieu du désert du Karakoum, à 260 km au nord d'Achgabat. Un village qui s'y trouvait a été rasé en 2002 sur ordre du Président Saparmurat Niazov et l'endroit est désormais quasiment inhabité..

Deuxièment ,leLe cratère de Darvaza est un trou d'une cinquantaine de mètres de diamètre situé à proximité du village, et qui est en combustion continue depuis 1971.

Le sous-sol de Darvaza est riche en gaz naturel. Lors d'une prospection minière soviétique en 1970, une équipe de géologues, forant le sol à la recherche d'un gisement, perce accidentellement une cavité souterraine qui provoque l'effondrement de la tour de forage, laissant dans le sol un trou béant. Pour éviter les risques d'explosion et de pollution atmosphérique, il est décidé de mettre le feu aux gaz qui émanent du puits. Les géologues estimaient que les réserves devaient s'épuiser en quelques semaines, mais le puits brûle sans interruption depuis 1971. Localement, l'endroit est surnommé « la porte de l'enfer » (derweze signifie « porte » en turkmène).

En avril 2010, le président Gurbanguly Berdimuhamedow signe un décret visant à l'extinction du cratère, mais celui-ci est toujours actif en mai 2013.

               

Vue du cratère en nuit                                             Autre vue du cratère

       

Le Triangle des Bermudes

Le Triangle des Bermudes est une zone géographique imaginaire1 de l’océan Atlantique qui serait selon des croyances populaires, le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d’aéronefs . Néanmoins, il semblerait que ces disparitions se fondent surtout sur des informations erronées, embellies ou mal interprétées et non sur des preuves évidentes . Selon un rapport du World Wide Fund for Nature en 2013,  De nombreuses légendes existent à propos de cette zone.

Cette  zone géographique que représente le Triangle des Bermudes est très fluctuante selon les récits rapportés et les considérations des écrivains qui ont décrit les mystères liés à cette zone géographique. Selon les auteurs, la zone varie de 500 000 à 1,5 millions de kilomètres carrés, ce qui influe sur le nombre des disparitions qu'on y reporte.

C'est en février 1964 que Vincent Gaddis dans un article nommé « The Deadly Bermuda Triangle », définit dans le pulp magazine Argosy , la zone géographique que recouvre le Triangle des Bermudes. Cette zone se situe à l'intérieur d'un triangle formé par l'archipel des Bermudes, Miami et San Juan à Porto Rico.

Néanmoins, cette zone géographique n'est pas reconnue par l'United States Board on Geographic Names.

C'est un article du Miami Herald, daté du 17 septembre 1950 et signé Edward Van Winkle qui fait mention pour la première fois, de disparitions inexpliquées dans le secteur. Deux ans plus tard, le magazine Fate publie un article "Sea Mystery at Our Back Door" signé George X. Sand traitant de la disparition d'une escadrille de cinq chasseurs-bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, événement connu sous le nom de Vol 19. C'est cette disparition inexpliquée qui va véritablement populariser le mythe du Triangle des Bermudes et alimenter les légendes concernant le secteur. Pourtant, il semblerait que les avions d'exercice, dépourvus d'éléments de navigation, se soient tout simplement perdus en mer après que le compas du pilote-instructeur, le lieutenant Charles Taylor soit tombé en panne.

Cependant, bien avant la disparition du Vol 19, des disparitions ou des faits étranges avaient été relevés dans le secteur. Christophe Colomb aurait déjà rapporté à son époque, le fait que son compas s'était déréglé dans le secteur. En 1918, l'USS Cyclops, un navire charbonnier de l'US Navy, disparaît en mer sans laisser de trace, ni de message radio. Si le mystère n'a jamais été élucidé (même s'il semblerait que le bateau ait coulé en mer sans avoir la possibilité de lancer des messages de secours) et a alimenté des théories ou des supputations paranormales et surnaturelles, il est en revanche peu sûr que la disparition se soit déroulée dans la zone géographique du Triangle des Bermudes, mais plutôt entre Barbade et Baltimore.

Inspirée par les précédents articles publiés dans les années 1950, l'appellation « Triangle des Bermudes » est forgée par le journaliste américain Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy de février 1964 : « The Deadly Bermuda Triangle ».

Le journaliste du Los Angeles Times Howard Rosenberg publia en 1974 un article estimant que plus de 190 navires et 80 avions auraient disparu dans cette même zone au cours des cent années précédentes et que les garde-côtes américains ont répondu à plus de 8 000 appels de détresse dans ce secteur.

Dans les années 1970, plusieurs ouvrages et articles de journaux sont consacrés au mystère du Triangle des Bermudes. Parmi eux, The Bermuda Triangle publié par Charles Berlitz en 1974, devient un best-seller et marque le début d'une série d'enquêtes et de contre-enquêtes sur le sujet.

Pour expliquer les mystérieuses disparitions, Olivier Bernier et certains auteurs évoquent les extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels tandis que d'autres optent pour des perturbations climatiques, des réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur (par exemple la remontée en surface d'hydrate de méthane) ou encore des défaillances humaines.

Parmi les hypothèses scientifiques, on a souvent évoqué des perturbations magnétiques et des flatulences océaniques, soit des émissions sous-marines d'un gaz hautement inflammable, le méthane dont la présence sous forme de bulles dans l'eau diminue fortement la densité de l’eau jusqu’à provoquer une perte de flottabilité pour les bateaux (voir hydrate de méthane). La présence de méthane dans l'air diminue la masse volumique et explique alors la perte de portance des aéronefs ; si la concentration est suffisante, cela explique alors l'arrêt des moteurs à piston ou réacteurs.

Issus de la décomposition d'éléments organiques comme le pétrole et le charbon, comprimés par la grande profondeur et la température très basse de l'environnement, libérés lors de la création de failles par l'activité tectonique, on trouve aussi des gisements importants en mer du Nord où certaines plateformes de forage, navires et aéronefs ont été engloutis ou pulvérisés par le même phénomène. Cette thèse a récemment été renforcée par la publication des travaux d'Anatoli Nesterov, de l'Académie des sciences russe. Cependant, de l'aveu même de l'auteur, aucune preuve scientifique ne vient étayer cette hypothèse.

On doit cependant noter que de nombreux récits font état de grains blancs dans ce secteur, comme le relate le film Lame de fond.

Un groupe de chercheurs canadiens a découvert une cité immergée au fond de l'océan dans la région du Triangle des Bermudes. Non loin des côtes cubaines un robot sous-marin a filmé des bâtiments en ruines, quatre pyramides géantes et quelque chose encore qui ressemblait à une statue du sphynx.

Les experts estiment qu'il s'agit des constructions de la période pré-classique de l'histoire caribéenne et centraméricaine. La cité antique pouvait être peuplée de preprésentants d'une civilisation pareille aux habitants de Teotihuacan, site vieux de quelque 2 000 ans situé à 50 kms de Mexico. /L

La vérité n’est pas ailleurs

Si le mystère du triangle des Bermudes continue à fasciner, il faut admettre que toutes ces disparitions n’ont aucun rapport avec des phénomènes paranormaux ou mystérieux.

Même si aujourd’hui, la science ne peut pas tout prouver, faute de preuves tangibles (le gaz ne laisse aucune trace), les phénomènes atmosphériques que l’on commence tout juste à comprendre en sont certainement la cause.
Les perturbations magnétiques qui ont été constatées dans cette zone expliquent les perturbations et pannes des instruments.

Les phénomènes naturels (Ouragans, tempêtes et trombes marines notamment) expliquent la plupart des naufrages et disparitions de navires.

Cependant, certains faits relatifs à des apparitions et à des distorsions du temps continuent à intriguer.

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